La communication est la base de toute relation ! Désolé, mais cette fois-ci, je voudrais changer un peu de style, je veux me lancer dans l’écriture d’un article traitant un sujet de genre différent, de ce que j’ai eu l’habitude d’écrire précédemment, après tout, il n’y a plus de faux socialistes au pouvoir à critiquer. Avec la politique qu’ils ont mené pendant cinq ans, ils ont mérité cette déroute et c’est entièrement de leurs fautes, sanctionnés sévèrement, ils ne peuvent en vouloir à personne d’autre qu’à eux-mêmes. En l’espace d’une seule élection ils sont devenus une espèce en voie de disparition et leur extinction ne fait plus aucun doute, d’ailleurs le parti socialiste est devenue une épave tombant en miettes, complètement à la dérive. Une autre cause réelle de leur ensevelissement est un toréador en chef valsant seul contre le socialisme et ses concepts, conséquence, il a été désavoué par ces amis comme par son parti, tout le plaisir est pour ses nombreux ennemis. Pour une fois que le titre de mon article s’accorde avec le sujet traité, il s’agit réellement de développer l’idée sur laquelle les religions influencent et sèment la peur pour communiquer une ligne de conduite en communauté et ce, afin de mettre en garde les hommes qui ne suivent pas le droit chemin. Dans l’Islam, cela s’appelle la sunna qui est une loi dont tous les musulmans doivent suivre comme le Talmud pour les Juifs, ceci est dit et je m’arrête là. J’ai choisi donc ce sujet parce que, aussi, un peu, peut-être, je ne sais pas, oui comment dire, je voulais dire un sujet philosophique, ça y est, je l’ai dit, bon ça va, ça va, vous n’êtes pas obligé. Okay j’ai toujours été un bon technicien où j’ai essayé de faire du mieux que je pouvais pour servir mes nombreux clients, ils m’appelaient en me disant allô Moustique j’ai un problème avec, ou allô Moustique ça ne fonctionne plus, ou encore comment faire pour faire marcher… . Changer un peu ça ne me fait pas du mal, bien que philosopher sur un sujet tel que celui-ci ne soit pas vraiment ma tasse de thé, car pour écrire mes articles je vais souvent direct aux besognes en pointant le personnage du doigt tout en le regardant dans les yeux. Voici donc mon nouvel article qui décrit rapidement l’espace d’un instant, un regard qui se fige, anesthésie devant un tableau. Une vision de la vie durant la fin de l’époque médiévale, rien de très appétissant, je vous l’accorde. Au commencement, pour moi la vie c’est l’existence en symbiose de toutes les créatures qui la composent, elle est unitaire et indivisible pour qu’elle soit parfaite il ne faut rien rajouter et ne rien enlever. Dans certaines cultures, la vie c’est la terre qui est la mère de toutes présences, pour d’autres c’est la nature qui est la mère qui a vu naître la vie. Selon mon point de vue, la terre n’est que le support qui donne un sens à la vie et la nature est la substance ou la matière évolutive qui l’enferme. Elle prend différentes formes d’existence, selon le milieu dans laquelle elle évolue. La vie est le filon ou le carcan qui regroupe d’une façon complémentaire tous ces êtres, d’ailleurs si nous pouvons réunir les caractéristiques biologique de toutes les formes vivantes, nous obtenons l’être le plus parfait. Une vie extraordinaire la plus résistante aux maladies, une grande force physique et capacité mentale, et si la perfection est un mauvais adjectif puisqu’il n’y a pas de moyen de comparaison dans ce cas, on peut dire l’être le plus complet. Je sais que cela est impossible de nos jours, mais l’impossible a toujours été une motivation pour l’un des êtres qui la composent, l’homme, bien qu’il soit l’être le plus éloigné de la perfection, mais pour lui les défis et l’opiniâtreté ainsi que le dépassement de soi sont un commencement vers le succès de ces projets. Nous avons les capacités d’accomplir aussi bien des chefs d’œuvres, des ingéniosités et des exploits, en s’inspirant bien uniquement de tout ce qui nous entourent, mais aussi des capacités pour commettre des grandes atrocités et des brutalités d’où la notion de bien et du mal.
Tous les êtres vivants sont liés et communiquent d’une façon ou d’une autre, c’est la thématique de base de toutes relations et la vie en communauté, mais pour beaucoup c’est le fondement de la vie, Khalil Gibran disait « Tu es aveugle ; je suis sourd-muet ; que ta main touche la mienne et que la communication soit », communiquer c’est aussi un procédé adroit pour exprimer des sentiments et ceci de différentes façons. Choisissons l’homme comme exemple, un regard, une pensée remplacent les paroles, des paroles sympathiques, mais un regard agressif, efface toute sympathie. Preuve que la communication non-verbale, oriente mieux nos attentions et communique nos intentions, un proverbe arabe dit « qui ne comprend pas un regards ne comprendra pas une explication, une présence, ou une absence peut véhiculer des messages et des ressentis des uns envers d’autres êtres. Il y a aussi l’inconscience qui véhicule des animosités celles-ci sont transmise par une simple pensée. L’inconscient ou les sentiments involontaires sont le moteur de nos fantasmes et de nos rêves les plus fous, ils influent sur le conscient, la connaissance intime de nos comportements, si elles sont mal attentionnées celle-ci peut engendrer des méfiances et des mauvais mysticismes, ainsi nous faisons délivrer un message suggéré sans le verbe comme action ou comme une intention, elles peuvent fait naître dans beaucoup de cas la haine et le mal. L’être humain s’enferme souvent dans une introspection propre à son environnement jusqu’au moment où il considère qu’il est arrivé à un pinacle de ses pensées dont il est devenu malheureusement prisonnier. Il est convaincu que ses propres arguments et pensées sont défendables, sans qu’elles le soient vraiment. Une des causes de son enfermement dans son environnement insidieux, c’est de ne pas reconnaître ses erreurs en cherchant bien à se justifier par tout moyen pour bénéficier d’une absolution ésotérique. Car, après tout, il n’accepte jamais ou très rarement à admettre ces fautes, de remettre ses opinions et ces conceptions en cause et réfléchir, il se maintient dans une position de ridicule fierté. Merde alors je ne vais pas entrer dans une psychanalyse Freudienne toute de même, non, il faut que je reste sur mon sujet. Juste pour terminer alors, il y a d’autres types de communications, c’est celle de l’inter-espèce, elles existent aussi, une idée extravagante et un peu folle peut-être, mais tant qu’on n’a pas prouvé le contraire, je continuerais à croire que cela est possible. Cependant n’allez pas demander à vos arbres fruitiers de vous fournir une meilleure récolte, je ne pense pas que cela fonctionne de cette façon. Il y a aussi la communication avec les esprits, ou avec les petits bonhommes verts, mais cela fera un bon sujet pour un prochain article. Un autre type de communication, c’est celle avec la divinité, contrairement à beaucoup elle est difficilement accessible car beaucoup ont essayé et très peu y sont arrivés. La principale difficulté, c’est la concentration, et ce n’est pas la gestuelle ni un chant guttural diphonique qui permet d’entrer en communion avec la divinité. Cela me fait penser à une petite histoire que j’ai envie à vous raconter, c’est celle d’un paysan qui voulait obtenir le meilleur cep de raisin afin d’obtenir un vin de grande qualité, Il s’est mis à prier jour et nuit, au bout d’une dizaine d’années, le bon Dieu lui révéla la recette. Mets un verre de sang de lion, un verre de sang de singe et un verre de sang de cochon au pied de tes vignes. Le fermier s’exécuta pour obtenir un cep de vin de qualité et il a bien réussi et c’est ainsi que depuis, lorsque l’on boit le premier verre de vin on ressent la force de lion, au deuxième verre la gaieté de singe et au troisième on devient con comme un cochon.
Communiquer c’est justifier et expliquer ses actions, écrire un article peu compréhensible pour communiquer des arrière-pensées, cela signifie peut-être que cette personne cache quelque chose. André Malraux disait « La vérité d’un homme c’est d’abord ce qu’il cache ». Je suis persuadé qu’en relisant ce même article plusieurs fois cela permettra à chaque lecteur de se forger sa propre opinion sur ce que l’auteur de l’article voulait exprimer. Toutefois, que voulait exprimer le peintre Jérôme Bosch en dessinant son triptyque « La Tentation de Saint-Antoine » difficile de savoir puisqu’on ne peut rien lui demander, il est mort depuis cinq cents ans. Cela dit même en restant pendant des heures durant devant son tableau afin de comprendre le message caché dans ce dernier, car je pense qu’il s’agit d’une question de libre interprétation. On ne peut pas non plus l’accuser d’être perturbé pour dessiner un tel spectacle sinon on en fera de même pour tous ses contemporains. Cependant, pour ne pas se perdre dans l’analogie, il faut résister à l’influence des images illustrées par autrui et pour cela, il faut apprendre à se connaître et s’accepter. Quel type de tentation ou turpitude voulait-il désépaissir, que voulait-il communiquer, est-ce l’histoire du bien et du mal qui se côtoient en équilibre et que tout le monde connaît. Peut-être que le peintre a voulu rappeler et évoquer une mise en garde des conséquences de l’ignominie si par hasard nos choix de vie sont en contradiction avec l’expérience de nos aïeux si on ne tenait pas compte de leurs apprentissages. La peur des sentiments profonds cachés au fond de chaque être humain ancré dans son inconscience, la peur d’être rejeté par les autres, ou la peur de ne pas être aimé ou de ne pas être considéré, de manquer d’amour, la peur de l’infidélité et de la trahison, peur aussi du temps qui ruine nos corps et nos forces pour nous faire accepter un jour, la mort, nos destins manqués guidés par nos cupidités, nos péchés et nos incertitudes. Les connaissances transcendantales concernant les représentations des objets et leurs relations à la vie et aux dogmes chrétiens pendant l’époque médiévale, cherchent à semer la peur afin de prévenir ceux qui n’obéissent pas à l’éthique religieuse. D’abord l’existence jubilatoire de l’homme au paradis, le péché, suivi par l’existence bucolique terrestre, les hommes sont livrés à eux-mêmes et aux exubérances du libre-arbitre se délectant de la béatitude, et une ébauche léthifère de ce qu’attend l’homme, s’il ne respect pas la maison de l’assemblée. Une illustration et une communication par la peur pour nous guider, la question est, faut-il vraiment faire peur et le transmettre afin d’obtenir une bonne conduite ? Peut-on communiquer avec des êtres vaillants sans la peur ? Un homme politique qui était ministre de la République a dit « la peur du gendarme est le début de la sagesse » en revanche lui il n’avait pas peur puisque à la fin de son mandat, il a eu pas mal d’affaires avec la justice pour tricherie et tromperie. Pas besoin de beaucoup d’exemples, il suffit de se regarder dans un miroir pour comprendre que le bien et le mal sont deux forces indissociables à la vie, l’une ne peut exister sans l’autre comme la vie qui réunit tous les êtres qui la composent, si l’une manque l’autre n’aura pas de sens. Si on a du mal à accepter cette idée, c’est parce que la vie est pleine des mystères, nous ne savons rien de ce monde ni de celui qui le suit, nous sommes toujours en train de chercher l’inconnue. La communication est la base de toute relation La communication est la base de toute relation.
Le bien et le Mal la semaine dernière, je suis allé passer 5 jours dans la belle ville de Londres, quelle que soit la saison le temps est souvent très agréable, je trouve toujours un grand plaisir à me promener dans les artères de cette belle et grande métropole remplie des magasins pour acheter des souvenirs et faire des affaires. Il faut que je vous raconte une petite anecdote, à Londres, c’est incroyable de voir et d’entendre autant de gens parlant des langues différentes, c’est beau, mais il y a un petit souci de culture. Voilà donc je suis monté avec ma femme dans le bus, bien content de trouver à l’étage deux places libres à l’avant, cela permet de mieux voir le paysage lorsque nous sommes en hauteur. Derrière moi, il y avait une personne qui parlait très fort au téléphone avec une langue bizarre, heureusement pour elle, dans ce type de bus, on ne peut pas ouvrir les fenêtres en grand, car si cela était possible, je l’aurais peut-être poussé par la fenêtre, ma femme était là pour me calmer, car cette personne a failli me gâcher la matinée. Avec le recul, je me rends compte que c’est incroyable de vouloir faire autant de mal à quelqu’un juste par un peu d’énervement, est-ce que le mal et un comportement normal, bien entendu, je n’aurais jamais pu jeter cette personne par la fenêtre, mais sur le coup cela m’aurait fait du bien. Faire du bien à soi en faisant du mal à autrui est-ce la vraie définition du bien et du mal. Plutôt alors une définition autosatisfaction, comment reconnaître les gens bien qui font du mal, des gens qui prêchent les bonnes actions et qui votent des lois, mais qui ne les respectent pas. Comment distinguer ceux qui font du bien alors qu’ils sont mauvais, bon là, il faut reconnaître qu’il n’y en a pas beaucoup ou parce que les petites bonnes actions ne peuvent être comptabilisées, ou alors ce sont des gens gentils, avec une tête de méchant et qui veulent garder l’anonymat. Comment expliquez quand un pays en manque de liberté envahit un autre pays une fois qu’il trouve son indépendance ? Que pensent les enfants de Nagasaki et Hiroshima et quel mal ont-ils commis pour avoir mérité telles atrocités ? Est-ce bien ou mal d’être exterminé d’une façon brutale sans faire la distinction entre ceux qui font du bien ou du mal, et celui qui a pris la décision d’envoyer ces bombes a-t-il fait du bien pour arrêter la guerre, l’histoire se répète à l’infini « tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens » ! Ceux qui ont commis des génocides et des massacres au nom de la liberté et d’un idéal quelconque, est-ce bien ou mal ? Je pense que la notion de bien ou de mal, d’être deux forces dont la prédisposition et la prédestination se côtoient et se confond, elles se situent du côté ou va notre regard, elle reflète l’état d’esprit des êtres et leurs faiblesses une fois qu’ils disposent du pouvoir sur les autres. La communication est la base de toute relation La communication est la base de toute relation.
Je vous quitte en vous embrassant bien fort.
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